toujours une gamine dans sa tête - [ft lou]

Je ne savais pas d'où vener cette passion, mais j'adorais faire des blagues. C'était presque un passe-temps, une passion.
Mon visage d'ange cachait bien des facettes, ces blagues étaient pour moi essentielles. C'était pour moi le moyen de me faire des amis, des vrais.
Pas ceux qui deviennent mes amis à seulement deux paroles prononcées. Je voulais trouver des amis qui seront me satisfaire.
Les filles qui aimeront faire des blagues comme je le fais, comme je l'adore.
Je ne savais pas si j'en aurais, mais j'essaierais. J'arrivais librement sur la plage, en bikini, pour me faire passer pour une touriste.
J'avais malheureusement, un sac de manger pour oiseaux. C'était pour la blague, mais ce n'était pas contradictoire.
J'avais reperé ma proie, une jeune femme endormie, en bikini. Elle avait un joli postérieur au passage.
C'était pas pour moi quelque chose de facile, car j'aimerais bien me lier d'amitié avec elle.
Mais j'étais obligé de le faire, pour voir sa réaction. C'était plus fort que moi.
Je fesais le tour d'elle, en étalant autour de sa serviette beaucoup de manger pour oiseaux.
Je courrais rapidement, en fesant l'innocente, voyant les mouettes grognaient de faim. Elle était tous autour de la jeune femme au joli cul.
Je marchais aussi de dos, pour faire l'innoncente, mais je rigolais sans qu'elle me voit.
La jeune femme se réveillait sous le bruit des mouettes, lorsqu'elle se levait je rigolais.
Je ne savais pas si elle m'avait entendu ou pas, mais en tout cas j'avais rigolé assez fort.

Je fesais si bien l'innocente que seul le sac de bouffe pour oiseaux me gâcher. C'était un peu bizarre de se balader avec de la nourriture pour animaux sur la plage, mais c'est ça.. Faire des blagues. Et je suis loin de me plaindre. Lorsque je marchais en direction de la route, je rigolais jusqu'à en pleurer. Mais ce qui m'a le plus supris c'était sa réaction. Elle n'avait pas eu peur, je pense qu'elle devait connaître la blague. Elle parlait même avec les mouettes, mon rire s'arrêta directement en sachant que ma blague avait merdé. Je la regardais du coin de l'oeil pour voir ce qu'elle fesait - et pour un peu la mater, son cul -. Je la voyais ranger et venir en ma direction, ça me plaisait car c'etait la personne qui sera mon amis. Je me retournais pour la voir, en face de moi. " Tu connais la blague, c'est ça ? " j'avais le sourire jusqu'aux oreilles et les fausettes assez prononcées.

Je ne pensais pas, rencontrer une fille qui elle aussi adore faire des blagues. Les filles sont souvent en train de draguer des mecs, en leurs montrant leurs seins, elles sont en train de faire la fête, des partouze. C'était mon genre avant, mais j'ai trouvé un autre moyen de m'amuser maintenant, et las de le monde catin bien sûr. Les blagues étaient un monde parallèle au monde présent, c'était comme si tu fesais une blague nulle, mais extrêmement, je serais toujours là pour rigoler. Je rigole facilement moi, c'est à la fois un défaut, à la fois une qualité. J'airais beau me retenir, avoir ma main devant ma bouche, je finirais toujours pas rigoler. C'est plus fort que moi. Nous étions en train de discuter lorsqu'elle me demande si je la connaissais, elle ne me disait rien du tout. "je vois qu'on aime bien les blagues, je connais pas, mais ravi de faire votre connaissance. " j'avais prit un ton rauque et las très réaliste, pour paraître dans les années soixantes. J'avais mit une mèche de cheveux entre mon nez et ma lèvre supérieur comme une moustache. Je suis folle, et alors ? Mais la moustache n'était pas réaliste car je rigolais encore et toujours.

J'avais toujours été à l'aise au dialogue, je ne suis en aucuns cas, timide. Et je suis loin de l'être. Je suis prête à dire tout, sauf quand cela ne m'arrange pas. Comme lorsque je regardais son fessier, bien moulée, je n'allais en aucuns cas le dire, enfin, je l'espère. Je l'avoue, je suis folle, mais c'est ma personnalité. Il y a des personnes neutres, et je n'aime pas ça, je veux voir leurs sourires, leurs émerveillements. Mais pour certains, c'était loin d'être une chose facile. Je paraissais moin mature qu'elle, mais je m'en foutais de ça, la maturité est un détail. J'adore revenir à mon enfance, car je n'assume pas d'être vieille. Je n'assume pas de vivre seule, sans rien, sans personne. Je voyais ce qu'était les blague, j'adorais ça, c'était une deuxième moi. " C'est bien, tu connais les leçons des blagueurs. " Je venais la prendre dans mes bras, et la tapoter le dos. C'était rigolo ce moment, car je ne la connaissais à peine, mais une seule chose nous réunissait: la blague. Je venais prendre une mèche de cheveux pour tapoter sous mes yeux, pour faire semblant de pleurer. Je pouvais passer pour une folle dingue, mais c'était moi, j'avais enfilé la casquette de folle. La situation était semblable à une maman à sa fille, alors que sa fille venait d'avoir un diplôme. J'étais le mère, émue, et elle la fille, neutre. Le moment était cassé par sa demande, j'étais un peu devenu blanche, car c'était parce que elle avait un joli fessier, mais je ne voulais pas lui dire. " Euh.. parce que.. Euh.. j'adorais tes fesses.. Euh ta serviette. Je m'étais trompé rapidement, je ne pensais pas qu'elle avait entendu mon erreur, du moins, je ne le voulais pas. C'était une catastrophe, si elle l'apprenait, mais vu qu'elle savait que j'étais folle, elle ne devait pas me croîre. Et si elle le fesait, me croire, je ferais semblant que c'était faux. J'ai des plans, dans ma caboche moi.

Je n'avais jamais été aussi forte, pour faire rigoler quelqu'un. C'est souvent par peur qui le font, mais elle ça l'était vraiment. Retrouver quelqu'un de ma vrai philosphie de vie, me fesait frissoner. C'était comme si, nous étions une autre espèce d'animal, et je venais de découvrir un compatriot. Je ne savais pas, mais en tout les cas, elle paraîssait moins folle que moi. Mais je savais qu'elle allait réveler des choses sur elle. J'avais un peu destressé lorsqu'elle rigolait un peu bruyamment, mais j'adorais ça, après mon erreur. Je rigolais aussi fort qu'elle quand on me fait une blague, aussi conne qu'elle doit l'être, la blague bien sûr. Je rigolais aussi, pour camoufler mon stresse, j'avais eu un peu peur lorsque je m'étais trompée, mais ça c'était bien passé. Je pouvais prouver qu'elle était tout aussi folle que moi, en me déclarant qu'elle prenait soin de ses fesses. Je rigolais vraiment maintenant, avec ce sujet de discussion, les gens pouvaient nous prendre pour des vraies folles, des vraies de vraies. "Ah, je les connais déjà. Un hamburger le matin, deux tacos le midi, et un faritas le soir, c'est ça non ? Tout dépend à l'endroit où tu le mets. " J'étais toujours aussi hilarante, avec la blague que je venais de faire.. C'était mon ancien métier, de faire la chaudasse comme ça, mais je ne sais pas si c'était autorisé ici. Mais je m'en foutais un peu, j'étais capable de me bagarrer.